Qui suis-je ?
Je suis Alexia, une personne passionnée et optimiste.
J’aime évoluer et je change régulièrement de lubie, même si je dois dire qu’avec les années mon ardeur s’est tempérée. Jeune, j’avais une passion dévorante pour les chevaux, passion que j’ai gardée puisque j’ai aujourd’hui trois chevaux (Sentinelle, Cheks et John). Je suis passionnée de lecture, de Stephen King à Zola en passant par Tolkien et Dostoïevski. Je suis aussi férue de films, plutôt dans le genre léger : je connais beaucoup trop de répliques de La revanche d’une blonde et des Visiteurs et je crois que le film Barbie pourrait bien rentrer dans mon top 20. Je suis une personne curieuse, j’apprécie toutes sortes de choses et je m’aperçois en écrivant ces lignes que mon parcours le reflète.
Après mon bac, je suis partie vivre en Angleterre avec Guillaume, mon copain d’alors devenu mon mari. Je suis rentrée en France et j’ai commencé ma première année de droit à Caen, ma ville natale. Cela a tout de suite fait sens : je me revois sur les bancs de la fac à écouter le cours d’histoire du droit, me disant : là je suis bien.
J’étais tellement bien que je suis allée jusqu’au doctorat!
J’ai enseigné six ans à l’Université en tant que chargée de travaux dirigés et j’ai obtenu mon diplôme de doctorat, avec l’idée que l’enseignement était une passion et même une vocation qui durerait toute la vie.
Ces années de travail intense m’ont appris la persévérance, la rigueur scientifique, la pédagogie et la résilience. Je suis sincèrement reconnaissante de ce parcours.
Seulement voilà, après toutes ces années de travail, j’étais épuisée. J’avais eu ma première fille, Natalia, durant ma thèse, tout en travaillant. J’avais travaillé littéralement 7 jours sur 7 pendant un an, de 6h le lundi à 22h le dimanche pour finir ma thèse et enseigner en même temps. Mon niveau de stress était extrêmement élevé, j’avais pris du poids et eu plusieurs problèmes de santé sérieux, dont une obstruction de la veine centrale rétinienne dont la cause avait été attribuée au stress et à la fatigue.
Surtout, je n’étais pas la maman que je souhaitais être et je n’étais pas dans un environnement de travail propice à mon épanouissement.
Au moment de candidater pour obtenir un poste de “titulaire” à l’Université, je me suis rendue compte que je n’en avais plus envie. Ainsi la personne optimiste que j’étais, qui avait fait sa thèse le sourire aux lèvres, guidée par ma croyance dans ma “vocation”, je craquais.
Du coup je n’ai pas un peu craqué, mais totalement.
J’ai tout lâché d’un coup, j’ai fermé la porte de l’Université et je n’y suis plus jamais revenue. Cette période de ma vie a été difficile. Quand on pense avoir une vocation, le chemin semble tout tracé. On ne se pose pas de questions. Le jour où je n’ai plus vu de sens dans tout cela, je n’ai pas compris ce qui m’arrivait.
Il m’a fallu plus d’un an pour m’en remettre. Avec du recul, je me rends compte que j’étais arrivée au bout de ce chemin, pour des raisons que je ne perçois pas totalement d’ailleurs, mais je le sais.
On a pas toujours besoin de tout comprendre.
Durant cette période d’incertitude, je me suis intéressée de plus près à l’aromathérapie. Je pratiquais l’aromathérapie familiale depuis plusieurs années et j’ai décidé de me former en aromathérapie scientifique auprès d’Aude Maillard.
Voilà un nouveau déclic dans ma vie : je me revois accédant pour la première fois à cette formation et retrouvant du sens.
La formation d’Aude Maillard est une formation exigeante et riche. J’ai pris mon temps pour la faire et après un an et demi de travail, j’ai obtenu l’examen avec mention Bien, un mois avant la naissance de ma deuxième fille Gabrielle.
En parallèle de ce travail, j’ai effectué une thérapie pour m’aider à retrouver le fil d’Ariane de ma vie.
Je me suis rendue compte que j’étais seule responsable de mon bien-être et de ma santé et qu’il fallait que je prenne les choses en main.
Mon accompagnement tire les leçons de ce parcours :
s’exprimer, s’écouter, se respecter, prendre soin de soi, se responsabiliser sont les verbes qui me guident.
Comme le dit Lisa Bilyeu dans son livre Radical confidence : “life is not a fairytale, save yourself !” ou, en français : “la vie n’est pas un conte de fées, c’est à vous de vous sauver !”.
Prendre soin de soi, c’est littéralement se sauver soi-même, se prendre par la main et ne plus lâcher.
Oh parfois on lâche, bien sûr, ce n’est pas grave. On se pardonne, on se retrouve et on avance (je dirais même qu’il n’y a pas d’autre façon d’avancer!).
Aujourd’hui, c’est très simple, je pratique l’aromathérapie quotidiennement.
Je soigne la quasi-totalité des rhumes de mes enfants avec les huiles essentielles.
Je consulte toujours mon médecin quand c’est nécessaire (rhume qui traîne, fièvre, abattement…) et il est arrivé à ma première fille de prendre des antibiotiques, mais bien souvent ce n’est pas nécessaire, à tel point que notre médecin s’étonne de ne jamais voir Natalia qui a aujourd’hui 5 ans !
Ensuite, moi qui avais des problèmes digestifs récurrents, une mycose cutanée, qui était constamment malade et fatiguée et j’en passe… j’ai retrouvé ma force vitale et je sais comment l’entretenir avec les huiles essentielles et des mesures d’hygiène de vie simples.
L’aromathérapie m’a donné des outils pour reprendre la main sur ma santé et mon bien-être d’une manière extrêmement profonde aussi parce qu’elle implique une approche globale de l’individu.
J’ai été formée en ce sens par Aude Maillard et je me forme actuellement en naturopathie en parallèle de l’exercice de mon métier d’aromatologue afin d’approfondir mes connaissances dans plusieurs spécialités (gemmothérapie, phytothérapie, micro-nutrition…) pour vous permettre de retrouver votre puissance naturelle.
Mon processus d’accompagnement
Connaissances
Sources solides
Investissement
Pour prendre soin de soi et lutter efficacement contre les affections de nos enfants avec les huiles essentielles, il faut des connaissances précises, avec des sources solides.
Ensuite, comme pour tout ce qui est naturel, il faut s’investir : il ne s’agit pas simplement de prendre un sirop ou une pilule. C’est une démarche personnelle où l’on prend en main en conscience son bien-être et sa santé via des mesures avant tout préventives.
Clarté
Sécurité
Efficacité
C’est dans cet esprit que se fait mon accompagnement. Avec clarté et précision, je vous accompagne pour vous apprendre à utiliser l’aromathérapie en toute sécurité et efficacité. Mon objectif est que vous puissiez prendre en main votre bien-être avec l’aromathérapie et d'autres techniques complémentaires, pour retrouver le chemin de la vitalité. Je suis là pour vous aider sur ce chemin, avec toute ma bienveillance (et j’en ai beaucoup 🙂).
Attention !
L’aromathérapie ne remplace pas une consultation médicale. Consultez votre médecin quand c’est nécessaire! L’aromathérapie, la naturopathie etc. sont aujourd’hui appelées à juste titre des approches complémentaires à la médecine traditionnelle. Les deux ne s’opposent pas. D’ailleurs, saviez-vous que les huiles essentielles augmentent l’efficacité des antibiotiques et réduisent le risque d’antibiorésistance ? De nombreuses études scientifiques existent à ce sujet.
Mes accompagnements
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Accompagnement global : aromathérapie + autres outils naturo (micronutrition, nutrition, activité physique, gestion du stress, gemmothérapie...)
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Explication claires et précises pour garantir la sécurité et l’efficacité de l'accompagnement
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Synergies et conseils personnalisés via un protocole sur mesure